On a vu le musée des Confluences et le nouveau pont Raymond Barre. Sur la rive gauche de la Saône, il y avait La Sucrière. On a vu des cygnes. Nous sommes passés devant l’aquarium de la Mulatière. On a vu un des plus grands bateau de tourisme sur fleuve à Lyon, il s’appelle : le Viking ! Et du coup nous avons vu le fonctionnement de l’écluse de Pierre-Bénite. On se rappelle du pont ou il y avait les statues de monsieur Rhône et madame Saône. Sur un immeuble moderne, il y avait deux têtes de messagers de dieux : Hermès et Mercure.

Sous un pont il y avait le métro A qui passait, du coup il avait un tablier plus grand. Sur la rive droite du Rhône, il y avait aussi l’Hôtel Dieu, et plus loin, on a aperçu l’Hôtel de Ville et la basilique de Fourvière.

Nous avons navigué jusque à la Cité internationale et nous avons fait demi-tour vers la passerelle de la Paix. Nous sommes allés au Parc de Gerland pour faire des recherches sur le castor. Nous avons vu un terrier-hutte.

Léo, Lélio, Gaston,  Octave L, Issa 

Nous sommes sortis de la péniche et avons commencé à marcher dans le parc de Gerland.

Nous avons suivi l’animateur qui nous a montré un nid de castor, fait de branche à demi sur terre et sur l’eau. En coupant des branches les castors forment des sortes de crayons qu’on appelle « pointe de crayon». L’entrée est sous l’eau pour empêcher les prédateurs de rentrer.

Quand le mâle trouve une femelle et qu’elle va bientôt accoucher le mâle doit partir quelques mois. Quand il revient, le petit castor a déjà bien grandi. Après avoir atteint un certain âge, le castor doit apprendre à dormir le jour et sortir la nuit pour éviter les prédateurs, marquer son territoire et savoir construire sa hutte. Puis après nous avoir expliqué cela nous sommes rentrés à la péniche. En montant sur le pont supérieur, nous avons vu un castor mort qui flottait sur l’eau.

Enzo

Simon

Noé D-D

Noé V.